29 septembre 2005
Vertige.
Voilà, il est parti cet après-midi.
Ça va bien. Y a un espèce de vertige qui subsiste, mais je ne peux m'empêcher de sourire quand même. Car du premier au dernier regard, tout a été impregné de respect, d'affection, d'honnêteté, de simplicité. Et ça, c'est bien.
Avoir un mail de lui dans ma boîte de réception me ferait un plaisir énorme, mais ne rien recevoir ne me décevrait pas outre mesure. On ne doit pas rester bloqué sur ce genre d'histoire indéfiniment.
De toute façon je lui écrirai, j'ai une ou deux choses à lui envoyer, une ou deux choses à lui dire.
...Au revoir, mon bel ami. Je t'embrasse. Et merci pour tout, tout, tout.
Publicité
Publicité
Commentaires
B
G
B